Atelier de pratiques scientifiques

De l’archéologue au chimiste : Le parfum retrouvé.

Bienvenue sur l’espace de cet atelier scientifique. Cette année le thème est le parfum. Nous allons suivre les trace de ces chercheurs.
Sur les sites de Pompéi, Paestum, Herculanum… en Italie, des découvertes archéologiques de divers flacons vont permettre d’approfondir les connaissances sur les parfums fabriqués et utilisés dans l’Antiquité. Jean-Pierre Brun, archéologue au centre Jean Bérard, et Xavier Fernandez, chimiste au LCMBA, réunissent leurs compétences et travaillent ensemble pour reconstituer les fragrances d’un parfum millénaire.
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1 – Le travail de l’archéologue.

​Fouilles sur le terrain. Nous avons reconstitué un espace de fouille représenté par de bac à sable. Nous avons délicatement dégagés des objets.
A l’observation nous proposons comme hypothèse que ce sont de petits vases pour l’huile, le vinaigre, le parfum, un autre liquide ?

2 – Les parfums chez les romains.

Quelles « recettes » pour un parfum antique ? Nos recherches montrent que les ingrédients de base sont tous naturels. On utilise l’huile d’olive, le miel, des pétales de fleurs, du sel, l’eau, et bien d’autres.
Voici notre résumé :  Recheches sur la fabrication des parfums chez les romain

3 – Nos essais de création par mélange à froid.

Nous avons réunis différents ingrédients et allons faire nos propres formules. Nous laissons reposer quinze jour et observons le résultat.

Nos recettes

Observons les résultats

Les observation de Julie et Yaëlle : Nos mélanges ne sont pas homogènes. En Sciences Physiques nous disons qu’un mélange est homogène quand on ne peut distinguer les différents constituants à l’œil nu après agitation..
Pour nos recettes ce n’est pas vrai en effet, l’huile et le miel ne sont pas miscibles par exemple.

Test de senteur :  Le plus souvent on a senti l’huile puis la lavande et enfin le miel.

3 – Test olfactifs.

4 – Qu’est-ce qui se passe quand on sent ?

Toutes les odeurs que nous sentons sont au départ des messages chimiques. Mais, le cerveau ne comprend que des messages nerveux.
On a cherché sur internet mais on n’a pas tout compris.
Ce que l’on a retenu c’est que la zone de l’odorat compte de l’ordre de cinq millions de neurones olfactifs.
Ceux-ci transforment le message chimique des produits odorants en un message nerveux compréhensible par le cerveau.

 

 

 

5 – Animation scientifique

Un lien vers l’article sur le site du collège

6 – Extraction d’arôme

M. Delevaque, Professeur de sciences physiques, à réalisé pour nous une d’extraction d’arôme de lavande par hydro-distillation.

1 – Dosage de la lavande                  2 – On écrase avec un pilon                              3 – On verse dans le ballon

 

 

 

 

 

 

Montage de l’extracteur. On avait ajouté de l’eau dans le ballon avant.

 

 

 

 

 

 

On attend que ça chauffe

 

 

 

 

 

 

Ça commence à faire de la vapeur

Comment ça fonctionne ?
On chauffe le ballon, le mélange se met à bouillir. Il y a production de vapeur d’eau. La vapeur entraîne avec elle l’arôme de lavande.
En arrivant dans le condenseur la vapeur est en contact avec la parois froide de condenseur dons elle redevient liquide. On récupère un distillat.


source Maxicours

Une « surprise » en observant le distillat, il y a 2 « couches ». Explication de M.Delevaque : On extrait en même temps l’arôme et l’huile contenu dans la lavande. Comme vu en 6 ème, l’eau et l’huile ne se mélangent pas donc on observe 2 « couches ».

Notre résumé.

 

 

 

 

 

7 – Oui mais les romains ne distillaient pas !
Nous allons essayer de mieux fixer les arômes par des mélanges à chaud sans faire de distillation.

 

 

 

Cette page se construira au fur et à mesure des travaux de l’année

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